Travailler dans une organisation au sein de laquelle les collaborateurs sont quotidiennement confrontés au deuil n’est pas anodin. On réalise souvent que le bonheur se trouve dans les petites choses et qu’il est important d’être présent les uns pour les autres. Le bonheur se crée et se partage. Un constat qui inspire quotidiennement les quelque 800 collaborateurs du spécialiste des obsèques DELA. Coup d’œil sur les initiatives dont nos collègues retirent beaucoup de satisfaction.
La satisfaction qu’elle retire de son travail en a fait une passion : « Les gens m’ont toujours fascinée. Dans une période de deuil, il devient évident que malgré nos différences, nous sommes en fait très semblables à bien des égards. Nous ressentons, par exemple, tous le besoin de parler de l’être cher décédé. Lorsque je m’entretiens avec les proches, je prévois toujours suffisamment de temps parce que c’est essentiel. À la femme qui a perdu son mari après 50 ans de mariage, je demande où et comment ils se sont rencontrés. Son sourire ne trompe pas... Notre intervention sur les plans administratif et pratique est aussi un grand soulagement pour les proches qui peuvent alors se concentrer sur ce qui compte vraiment : gérer leur chagrin. Chez DELA, 25 conseillers en formalités après funérailles sont chaque jour à la disposition des personnes endeuillées pour les aider à résoudre les soucis pratiques et administratifs consécutifs aux obsèques. »
Pendant la pandémie, les centres funéraires de DELA ont cherché des moyens créatifs d’organiser de belles cérémonies d’adieu, personnalisées. Ils ont également cherché des moyens d’alléger les mesures restrictives liées au coronavirus. Ils utilisent notamment toujours une « balle antistress en forme de cœur » qui tient dans la paume de votre main afin d’indiquer les sièges dans la salle de cérémonie. Cela permet aux proches de respecter les mesures d’éloignement de manière agréable et chaleureuse.
L’entrepreneur de pompes funèbres Koen De Swerdt du centre funéraire Appeltants à Machelen a lui aussi constaté que cet objet était un très beau souvenir pour les proches : « Il y a quelque temps, nous nous sommes occupés des obsèques de l’un des deux frères qui résidaient tous deux dans une institution pour personnes avec handicap mental. Les responsables de l’institution sont venus prendre des dispositions avec le frère du défunt qui a pu choisir le cercueil. Il avait ses propres goûts et a choisi le cercueil “Schubert” ainsi qu’une magnifique urne ornementale pour l’accompagner. Mais le frère ne saisissait pas la situation. Il était très attristé et j’avais beaucoup de peine pour lui. Je lui ai donné un de nos cœurs en peluche. “Voici un cœur plein d’amour”, lui ai-je dit. “Glissez-le dans votre poche ou gardez-le près de vous et faites-lui un gros câlin chaque fois que vous pensez à votre frère ou qu’il vous manque...” La famille a réellement apprécié que nous ayons autant impliqué le frère dans les adieux, et ce cœur tangible a été d’un réconfort incroyable pour lui. »
Le réseau de DELA compte une soixantaine de centres funéraires hautement qualifiés répartis dans plus de 110 villes en Belgique.
Un petit geste peut faire toute la différence, a fortiori lorsque les gens traversent des moments difficiles. Déposer une carte dans la boîte aux lettres d’un voisin qui a récemment perdu son emploi, offrir une tasse de café ou une soupe à un collègue qui traverse une période sombre...
Vous souhaitez montrer à quelqu’un que vous pensez à lui en lui offrant un petit cadeau ? Ajoutez-y une de nos étiquettes avec de beaux dictons à télécharger ici.
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